Aurélie Claisse





Faire de votre vie un film à succès d'Aurélie Claisse... Vous dévoile les clefs pour devenir seule l'actrice, seul l'acteur d'une vie belle, joyeuse, harmonieuse, réussie...

Aurélie a été professeure de théâtre et a formé plus d'une centaine de comédiens, puis directrice de casting pour des chaînes nationales. Alors elle sait de quoi elle parle, lorsqu'aujourd'hui, coach et formatrice, elle anime des conférences et webinaires sur les techniques de confiance en soi, d'image de soi et de communication.
Sa méthode C.A.M.E.R.A., unique en son genre, vous aidera à vous libérer de la cage symbolique d'un rôle dans lequel vous vous êtes enfermé ou qui vous a été imposé...
Ecrivez le merveilleux scénario de votre vie...

Vous écrivez dans votre introduction... « La méthode C.A.M.E.R.A. peut vous permettre de faire de votre vie un film à succès, dans le domaine que vous voulez, professionnel ou personnel. » Vous pouvez nous en dire un peu plus...
Notre vie peut en effet s'envisager comme un film dont on est non seulement l'acteur principal (chacun d'entre nous tient le premier rôle dans son histoire personnelle), mais aussi le scénariste (on peut changer le scénario de sa vie en fonction de ses choix), le réalisateur (on réalise des actions chaque jour), le directeur de casting (on choisit les personnes qui nous entourent : nos partenaires, nos amis, nos associés...). Et enfin le directeur photo (on peut rendre son existence lumineuse.)

Le film de notre vie se joue sur différentes scènes regroupées en deux grands domaines : la vie privée et la vie professionnelle.

Et quel que soit le domaine, on recherche sinon à vivre des satisfactions, du moins à ne pas vivre d'insatisfactions. La joie est d'ailleurs la seule émotion que notre cerveau cherche à reproduire en permanence.
Le mot « C.A.M.E.R.A. » fait bien sûr référence à l'univers audiovisuel, mais est aussi un acronyme pour Confiance, Authenticité, Moteurs, Émotions, Rôle, Actions.
Six mots constituant la clé de l'épanouissement et du succès.
On attend parfois que le bonheur vienne à nous, alors que nous sommes les acteurs de notre mieux-être.

Et on peut tous rencontrer des problématiques qui peuvent, à un moment ou à un autre de notre vie, représenter des obstacles à notre bonheur.

Ces problématiques concernent justement :
- Notre manque de confiance en nous (C'est le « C » de la méthode, le « C » de « Confiance »). On peut en effet avoir parfois une mauvaise image de soi, se sous-estimer, ne pas avoir conscience de ses capacités, ne pas savoir s'affirmer... Tout cela constitue des obstacles à notre bien-être.
- Notre difficulté à être vraiment nous-même, à être authentique (C'est ici le « A » de la méthode, le « A » « d'Authenticité »). On peut alors avoir l'impression de jouer un rôle, de porter un masque (virtuel) en société. On ne se sent pas réellement soi-même, ce qui est une entrave à l'équilibre intérieur.
- Notre manque de motivation. On peut parfois avoir l'impression que le moteur (le « M » de la méthode) qui nous fait avancer s'essouffle. On ne trouve plus vraiment de sens à ce que l'on fait ou ce que l'on vit.
- Nos émotions négatives (Le « E » de la méthode). On peut parfois se laisser submerger par des émotions dites « négatives » (la peur, la colère, la tristesse, le dégoût par exemple), émotions qui témoignent de notre souffrance.
- Le rôle (le « R » de la méthode) dans lequel on peut être enfermé, l'étiquette qu'on nous colle, et qui nous bloque.
- Le manque d'actions (le dernier « A » de la méthode C.A.M.E.R.A.).

La méthode C.A.M.E.R.A. propose 50 actions pour répondre à ces problématiques.

Comment lire la Méthode C.A.M.E.R.A. Obligatoirement du 1er au dernier chapitre... Ou peut-on s'attarder, sélectionner vos chapitres qui vont répondre au plus vite à nos besoins, à nos souhaits...
Vous êtes l'acteur du film de votre vie... et l'acteur du livre.

Vous pouvez donc lire la méthode en intégralité ou en partie.
Dans l'ordre que vous souhaitez. Et dans le désordre si vous le voulez.
 
Vous pouvez sélectionner les chapitres (ici appelés « épisodes ») qui vous intéressent personnellement et ne lire que les épisodes qui répondent à vos besoins.

Ou ne réaliser que les « Actions », sans lire ce qui les introduit...

Vous être acteur de la lecture, acteur de vos choix, acteur de cette méthode.
 
Vous titrez votre premier chapitre... « Avoir une meilleure image de soi »...
Vous expliquez...
«  L'estime que vous avez de vous, c'est l'estime que vous faites de la distance qui sépare l'image que vous avez de vous, de l'image idéale que vous voudriez avoir. »
Une juste estime de soi serait-elle la toute première base de la réussite de notre vie...

L'estime de soi se construit enfant, mais il nous est possible de l'améliorer, de la rendre plus juste, quand on est adulte.

Quand on se sous-estime, on a tendance à se dévaloriser, à porter une attention démesurée aux jugements des autres. On peut alors vivre un regard en coin ou une critique comme un rejet.
On a aussi tendance à minimiser les compliments qui nous sont faits, à ne pas y croire ou à croire qu'ils sont dits « pour faire plaisir ».
On se dévalorise, on nourrit facilement des pensées négatives à son encontre, on ne sait pas vraiment poser de limites à des comportements parfois abusifs. On fait passer le plaisir de l'autre avant le sien. On ne répond pas toujours à ses besoins.

Or, les bases de notre épanouissement et de notre succès passent par une estime de soi juste.

Pour cela, il est important de garder à l'esprit que le point de vue de l'autre, par exemple, n'est qu'un simple point de vue, rien de plus. Il n'est ni supérieur, ni inférieur au nôtre.
Accepter les compliments sans gêne et avec humilité, remplacer nos pensées automatiques négatives par des pensées rationnelles, poser des limites aux autres et à nous-même quand les comportements sont abusifs et préjudiciables, se faire plaisir en répondant à ses besoins... Tout cela contribue à notre bien-être.

Avoir une juste estime de soi est un des fondements de la réussite.
Une estime de soi « juste » ne veut pas dire une estime de soi « trop haute » non plus. Sinon, on devient égotiste. On a alors tendance à se sentir supérieur aux autres, on a du mal à reconnaître ses torts, on a du mal avec la critique, on peut vouloir dominer l'autre... Ce qui fait qu'on est fui... et qu'à terme on échoue.
 
Parce que au-delà de nos compétences professionnelles, cette fameuse estime de soi peut concerner notre physique...  Pouvez-vous nous suggérer alors quelques conseils simples pour se regarder dans la glace en s'aimant...
Les compétences professionnelles participent de la confiance en soi (le « C » de confiance rappelle d'ailleurs le « C » de « Compétences » et de « Capacités »). C'est le fait de se sentir capable.

L'estime de soi, quant à elle, fait référence aux valeurs, au fait de se sentir valable.  

L'estime de soi se construit en portant un regard bienveillant sur soi, y compris quand on se regarde dans un miroir.

Se regarder dans un miroir est déjà un pas vers l'estime de soi. Il arrive que des personnes ne se regardent même plus, tellement elles ne supportent plus leur image et ont perdu contact avec leur valeur...

Pour apprendre à s'aimer quand on est face à son miroir, il est d'abord important de se regarder objectivement, sans jugement dévalorisant, et avec bienveillance.

Trouver et voir le positif en soi, valoriser ce qu'on aime bien chez soi, et ne pas pointer du doigt ce qui ne va pas.

Ne pas se focaliser sur ce qu'on croit être des défauts... Ce qu'on juge d'ailleurs être un défaut constituera une qualité ou un charme aux yeux de quelqu'un d'autre.

Porter des vêtements qui nous plaisent et dans lesquels on se sent bien.
Ne pas hésiter à prendre soin de sa peau, à utiliser si besoin des cosmétiques qui nous valorisent.

Écouter les compliments qui nous sont faits quant à notre tenue, notre maquillage, ou quoi que ce soit qui concerne notre physique.

Et observer avec bienveillance et accueillir avec joie, ce qui, chez nous, a suscité ces compliments.   

Votre chapitre 6 s'intitule... « Retrouver sa motivation »...
Il est nécessaire, affirmez-vous, de « retrouver le sens de son existence »... Ne pensez-vous pas qu'il faille être déjà initié en philosophie, en psychologie, dans les différents états comportementaux...

Non il n'est pas nécessaire d'être initié en philosophie ou en psychologie pour découvrir ou retrouver le sens de son existence.

Le mot « sens » a plusieurs significations : la raison, la signification et la direction, l'orientation, notamment.

Il est question ici de découvrir la direction personnelle à prendre pour avoir une vie épanouie. De repérer ce qui nous motivera enfin vraiment, et nous donnera des raisons d'être heureux. Et de donner à nos actions du sens, de la signification.

Quand on s'éloigne du sens de son existence, on s'éloigne du bonheur et on ressent tôt ou tard au fond de soi, qu'on fait fausse route.

En découvrant notamment ses motivations fondamentales, ses moteurs émotionnels personnels, son « super-objectif » de vie, son rôle-clé de vie, on redonne du sens et on prend la direction de l'épanouissement et du succès.   

Maîtrisez notre stress négatif... Donnez-nous quelques recommandations essentielles pour y arriver...
Le stress négatif est le stress qui bloque, là où le stress positif motive. Avec le stress positif, on considère la situation comme un défi motivant.

Quand on vit un stress négatif, on a l'impression de ne pas faire le poids face à une situation qu'on considère cette fois comme une menace ou comme un potentiel préjudice à venir. On craint de ne pas maîtriser...
Le stress est subjectif. Pour réduire son stress négatif, on peut d'abord lister concrètement et objectivement, dans une 1ère colonne, ce que la situation stressante va exiger de soi.

Et écrire en face, dans une seconde colonne, tout ce qu'on a pour faire face : ses capacités, ses qualités, ses talents, ses valeurs, ses intelligences (le psychologue Howard Gardner en dénombre neuf types), ses compétences techniques et ses soft skills (ce sont les compétences comportementales comme l'empathie, l'écoute, l'autonomie, la capacité d'adaptation, la créativité, etc.)

Si on ressent encore du stress, noter précisément ce qui nous stresse encore dans la situation, de quoi on aurait besoin pour être rassuré, et quoi faire, comment agir pour l'être.

Un travail sur le corps a aussi sa place dans la gestion du stress, avec par exemple des exercices de respiration abdominale et de cohérence cardiaque.

Un travail émotionnel via notamment la visualisation positive et des techniques de PNL, permet aussi d'ancrer la sérénité en soi.

Et on peut ajouter la méditation bien sûr et des « routines bien-être », comme se lever chaque matin en trouvant 10 raisons d'être dans la gratitude. Pour ressentir de l'apaisement et de la joie dès le début de journée, et irradier autour de soi cette énergie positive.

Tous les rôles que nous jouons dans notre vie doivent nous convenir... Travail, maison, relations amicales, amoureuses... Loin d'être facile face aux contraintes de la société... Devons-nous au fur et à mesure reprendre, réécrire la scène de chacun de nos rôles... Est-il possible de tout réaliser en même temps...
Les rôles que nous incarnons sur les différentes scènes de notre vie peuvent ne pas tous nous convenir parfaitement.
Mais il est important qu'un équilibre soit atteint et maintenu.

Si par exemple on est super satisfait au travail, mais que notre vie amoureuse est un véritable fiasco, on ne sera pas aussi bien dans sa peau que si tout allait bien sur toutes les scènes de notre existence... On ressentira comme un déséquilibre.

Il n'est pas utile de réécrire tous nos rôles intégralement. Surtout si un de nos rôles nous convient, mais demande juste quelques petits ajustements, quelques petites améliorations...

Si par contre on se sent malheureux sur absolument toutes les scènes de son existence, il est important d'avancer pas à pas. Ne pas hésiter à se faire accompagner par un professionnel, et agir à son rythme et avec bienveillance.
Pour d'abord rechercher des sources de satisfaction sur les scènes qui nous paraissent essentielles à nos yeux. Voir ce qui pourrait être un plaisir sur une scène choisie, quels seraient les besoins personnels à satisfaire, qu'est-ce qui serait important pour soi, quoi faire, sur quoi avoir un impact et une influence pour se sentir heureux.  
Et tirer des enseignements des expériences que l'on considère comme des échecs... En réalité, il n'y a pas d'échec, il n'y a que du feedback, de l'enseignement. Notre rôle est alors d'analyser ce qui s'est passé, pour faire mieux la prochaine fois, réussir, et prendre le chemin du mieux-être.  

Faire de votre vie un film à succès
Aurélie Claisse

Gereso Edition

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