Et si vous étiez l'héroïne, le héros de votre vie pour être heureuse, heureux... Alors suivez vite, vite, le fil des pages du livre d'Aurélie Claisse Faire de votre vie un film à succès...
« Acteur de votre histoire personnelle, vous en tenez le premier rôle. Vous en êtes le héros. Votre histoire, vous pouvez en changer le scénario, pour vivre ce que vous voulez vraiment... Directeur de casting de votre histoire, vous sélectionnez vos amis, vos partenaires, vos associés, les personnes qui auront un rôle majeur dans votre vie, et celles qui auront un rôle secondaire. Vous êtes enfin le directeur photo de votre existence : vous pouvez rendre votre vie lumineuse et éclairante. », vous suggère Aurélie.
Le titre de votre livre « Faire de votre vie un film à succès » fait rêver... Peut-être que certaines personnes pensent que ce n'est pas pour elles, ne se sentant pas concernées, trop difficile à réaliser... Comment vous allez évincer leurs craintes, leurs idées préconçues...En réalité, je pense que chacun d'entre nous aspire à réussir sa vie, à faire en sorte que son histoire personnelle soit plus souvent ponctuée de réussites et de sources de satisfaction, que d'épreuves et de tourments.
Vivre le succès peut en effet sembler difficile, surtout si on imagine le succès comme l'apanage de quelques chanceux faisant la une de magazines mettant en avant leur « success story ». Mais en côtoyant ces personnes, il s'avère qu'elles n'ont bien souvent pas l'impression de vivre une vie de succès, n'étant pas comblées, pas heureuses, en dépit de leur réussite financière ou professionnelle. Ces réussites sont certes des ingrédients possibles au bonheur, mais le succès dans la vie passe avant tout par l'amour de soi, le respect de soi et l'accomplissement de soi, en fonction de qui l'on se sent être profondément, indépendamment de ce que les autres attendent de nous.
Que signifie votre méthode C.A.M.E.R.A...C'est un acronyme pour Confiance, Authenticité, Moteurs, Émotions, Rôle, Actions. C'est une méthode qui permet, à travers 50 exercices pratiques et accessibles à tous, de prendre le chemin de l'accomplissement, de tenir les rênes de son existence, et de trouver la voie du succès pour sa vie personnelle.
* Le « C » représente la Confiance en soi...Elle est nécessaire pour oser faire des choses qui nous plaisent vraiment, dans le respect de soi et des autres bien sûr, et sans craindre le jugement extérieur.
La confiance en soi permet de se lancer, de faire taire ses croyances limitantes ou la petite voix intérieure qui parfois « auto-sabote », pour la remplacer par des pensées plus bienveillantes et rationnelles envers soi.
Le succès passe aussi par une juste estime de soi, ne pas se dévaloriser par rapport aux autres, ne pas se sentir supérieur non plus, mais se sentir avoir de la valeur. Se respecter en posant ses propres limites aux autres, en s'affirmant, en exprimant ses besoins sans agressivité, mais sans soumission non plus.
* Le « A » fait référence quant à lui l'Authenticité...Il s'agit ici de connaître ses qualités, découvrir et respecter ses propres valeurs, être capable d'exprimer clairement ce que l'on souhaite pour soi. Être authentique, c'est affirmer sans agressivité et sans honte sa singularité. Nous sommes tous différents, et notre différence, notre unicité, fait notre richesse si nous l'assumons. On peut certes avoir des modèles, des figures de référence. On peut souhaiter ressembler à telle ou telle personne, telle ou telle star, mais chacun est unique. Et possède en soi un talent, une qualité, une ressource exceptionnelle qui ne demande qu'à être découverte et à être exploitée.
* Le « M » fait écho à nos Moteurs, nos sources de Motivation...Nous agissons d'une certaine manière parce que nous avons été éduqués d'une certaine façon, parce que nous baignons dans une certaine culture, parce que nous vivons à l'époque qui est la nôtre. Nous avons tous été conditionnés identitairement à être gentil, à être fort, à faire des efforts, à faire vite, à être parfait. Or, ces conditionnements, même s'ils sont mus par une intention positive au départ, peuvent vite nous enchaîner à des comportements qui peuvent nous porter préjudice. Nous ne serons jamais parfaits, nous ne sommes pas toujours forts, à trop être gentil avec les autres, on peut oublier d'être gentil avec soi... Il est important de redonner du sens à sa propre existence, de se libérer de conditionnements néfastes ou préjudiciables parfois, pour se connecter à ses motivations personnelles, profondes et uniques pour retrouver l'énergie du bonheur.
* Le « E » représente les Émotions...Nos émotions nous accompagnent tout au long de notre journée et de notre vie. Il ne s'agit pas de les gérer. On ne peut pas empêcher une émotion de nous assaillir, de poindre alors qu'on ne s'y attendait pas. Et plus on tente de contrôler ses émotions, puis on risque l'explosion émotionnelle... Si je contrôle mes pleurs, je risque de m'effondrer en larmes tôt ou tard, et pas toujours au moment opportun. Si je suis en colère et que je cumule les expériences où je me sens vivre une injustice, je risque d'exploser tôt ou tard. Il est préférable de ne pas mettre un mouchoir sur ses émotions, mais au contraire de les écouter, de les reconnaître, de les vivre, mais en gérant les comportements liés pour adopter une attitude appropriée. Si je suis en colère, je dois gérer mon comportement et ne pas lever la main sur la personne qui m'excède, mais au contraire reconnaître ma colère, comprendre que je subis une injustice, et réfléchir au comportement à avoir pour obtenir réparation sans porter préjudice à qui que ce soit. La peur peut quant à elle occasionner du stress. On ne se sent pas toujours capable de faire face à une situation stressante, on a parfois l'impression qu'on n'a pas les capacités, les talents, les ressources, les qualités requises pour faire face à ce qui est attendu de nous. Or, il est possible de rééquilibrer sa perception de la situation, pour voir cette dernière non pas comme une menace, ou une perte à venir potentielle, mais comme un défi exaltant.
* Le « R » fait écho au Rôle que l'on joue dans la vie...On nous attribue parfois un rôle (celui de la personne gentille à qui on peut toujours demander service, celui de la personne forte qui va trouver des solutions, celui du rigolo de service...) Ces rôles peuvent ne plus nous convenir et on peut vouloir s'en défaire. Il est possible de sortir de ces « rôles-cages » et de découvrir son « rôle-clé » dans la vie. Nous avons tous une mission de vie. Et cette mission est unique, propre à chacun. Comprendre le rôle qui est le sien dans la vie, l'endosser avec joie, fierté, et sérénité, devenir le héros de son existence à l'image des héros de notre enfance, tout cela est possible. S'aimer et aimer sa vie, c'est cela faire de sa vie un film à succès.
* Le dernier « A » fait référence quant à lui aux 50 actions, 50 exercices pratiques, à réaliser...Dans l'ordre ou dans le désordre, en fonction de ce à quoi on aspire : augmenter sa confiance, découvrir son unicité et être authentique, retrouver sa motivation, faire la paix avec ses émotions, trouver son vrai rôle dans la vie.
Comment l'avez-vous élaborée...Cette méthode a été élaborée en fonction de mon vécu personnel. Ayant travaillé dans l'univers du théâtre, du cinéma puis de la télévision, j'ai dû au cours de ma carrière rencontrer près de 500 000 personnes souhaitant avoir leur propre « quart d'heure de gloire », en passant à la télé notamment. Mes fonctions de directrice de casting m'ont demandé de sélectionner parmi ces 500 000 individus, 15000 personnes qui atteindraient les plateaux télés. Un ratio drastique qui m'a amenée à réfléchir à une méthode à écrire pour aider ceux qui ne parviennent pas à attirer l'attention, qui n'arrivent pas à sortir du lot, qui sont entravés par leurs blocages... Au théâtre, les comédiens doivent faire preuve de savoir-faire (savoir projeter sa voix, savoir jouer des émotions et les faire comprendre par un public placé parfois à l'autre bout de la salle...). A la télévision, il faut « faire-savoir », il faut oser, savoir se mettre en avant pour attirer l'attention quand on passe un casting notamment. Au cinéma, il faut savoir être. L'acteur ne joue pas, ne simule pas, il est le personnage, il vit les émotions et est « vrai ». S'il n'est pas authentique, on trouvera qu'il n'est pas juste, que le rôle ne colle pas à ce qu'il est ou à une part de sa personnalité. Forte de ces trois expériences et de mes certifications, entre autres, de relaxologue, d'hypnothérapeute, d'acting-thérapeute, de coach, de coach PNL, de préparatrice mentale, j'ai collaboré avec un médecin psychiatre qui m'a proposé de soumettre la méthode C.A.M.E.R.A. à certains de ces patients que cela intéresserait.
Dans votre 1er Chapitre Confiance, vous écrivez
« S'estimer au travers de son seul regard sur soi »... Vous pouvez nous en dire un peu plus...Quand on se sous-estime, on donne plus d'importance aux jugements des autres qu'à son propre jugement. On peut être hyper-sensible aux opinions des autres, les considérant comme plus valables que celles qui nous sont propres. Par exemple, vous achetez un pull. Vous le trouvez joli. Et quelqu'un vous dit que votre pull est bizarre, qu'il est mal taillé ou qu'il ne va pas à votre teint ou à votre morphologie. Si vous vous sous-estimez, vous n'aurez plus envie de mettre ce pull que pourtant vous avez suffisamment aimé pour l'acheter... Parce que le jugement de l'autre prévaut sur le vôtre. Et que ce jugement vous a impacté.
Le regard de l'autre peut aussi être mal interprété. « Telle personne m'a regardé(e) avec insistance, j'avais certainement quelque chose de bizarre sur la figure... » Un regard, une réflexion anodine peuvent être vécus comme un rejet. Même une absence de réaction de l'autre peut être mal vécue !
L'estime de soi se construit. Mais elle peut parfois hélas avoir été en partie ou totalement détruite. La bonne nouvelle, c'est qu'elle se reconstruit, et peut se stabiliser, en portant un regard juste et bienveillant sur soi. Avoir une bonne estime de soi permet de garder à l'esprit que le jugement de l'autre n'est qu'un simple point de vue, rien de plus. Et que ce point de vue, s'il diverge du vôtre, n'est pas pour autant meilleur ou moins bon. Il est là, il existe, c'est tout. Mais ce qui importe le plus, c'est votre propre regard sur vous.
L'on dit que plaire à tout le monde, c'est plaire à n'importe qui... Quels conseils donneriez-vous pour « être soi », authentique, dans notre société aujourd'hui tant formatée...En réalité, « on ne peut pas plaire à tout le monde », pour reprendre le titre d'une émission de télé. Et vouloir plaire à tout le monde serait répondre aux attentes de chacun, donc se perdre à adopter continuellement de faux selfs pour se conformer à chaque personne rencontrée.
Pour être soi dans une société qui tend à imposer des standards, il est important de se connecter à qui l'on se sent être profondément. Une fois découverte notre singularité, il s'agit de comprendre, d'accepter et d'assumer cette singularité. Il ne faut pas cacher ce qui fait de nous une personne unique, mais l'afficher sans crainte du jugement, même s'il y aura toujours des personnes pour vous juger. Mais si vous acceptez votre singularité et êtes en accord et ok avec cette dernière, vous dégagerez une énergie positive qui donnera envie aux autres - y compris à ceux qui vous jugent négativement de vous ressembler. Une personne qui assume sa différence avec joie et sérénité, se singularise, se démarque des autres, standardisés. Elle sort du lot, attire à elle les réflexions pas toujours gentilles dans un premier temps, puis devient un modèle dans un second temps. Cela me fait penser à l'exemple de la jeune fille que j'étais au collège qui ne possédait pas les vêtements de marque que tous les autres collégiens portaient. Moi, ma tenue préférée était mon jean et mon gros pull au col tombant sur les épaules. D'abord raillée par mes camarades de classe, j'aurais voulu me fondre dans la masse pour faire stopper les moqueries. Mais mes parents m'ont dit : « si tu fais cela, tu rentres dans leur jeu et tu deviens comme tout le monde ». J'ai donc tenu le coup et assumé cette singularité vestimentaire. Quelques jours plus tard, une, puis deux, puis trois... cinq, six, dix personnes du collège ont changé leur tenue pour porter les mêmes vêtements que moi... L'authenticité fait envie. Vous pourriez même vous entendre dire : « j'aimerais être comme toi, toi tu es heureux(se), tu t'assumes ! »
Dire Non... Poser ses limites... J'écris Non avec une lettre majuscule pour en poser son importance... Comment le dire élégamment...En disant Non, on a la crainte bien souvent d'être rejeté. Alors on peut avoir tendance, soit à « tourner autour du pot » parce qu'on n'assume pas totalement son « Non » et on craint de blesser, soit à le faire de manière trop autoritaire, trop agressive, parce qu?on est submergé par la crainte de ce qui pourrait se produire si on flanchait et si on disait à moitié ou totalement « Oui ».
Pour dire Non élégamment, il faut d'abord choisir le bon moment, le bon endroit, la bonne personne. Il faut parler directement à la personne à qui opposer le refus, et ne pas passer par un intermédiaire. Il s'agit de choisir le bon moment, le moment où elle est disponible et peut accorder quelques instants à la communication. Et bien sûr choisir le bon endroit, de préférence un lieu où vous êtes seuls.
Il ne faut pas employer de ton, de posture, de mots accusateurs et proscrire le « Tu ». Le « Tu » tue. Si je veux dire Non à une situation, à une personne, il convient d'abord de savoir ce que moi je veux. En disant Non, je dis oui à autre chose. Par exemple, si on me propose une sortie, mais que je suis fatigué(e), si je dis oui, je fais plaisir à l'autre, mais je n'écoute pas mon besoin de repos. Si je dis non à cette sortie, je dis oui à ma récupération physique, oui à la tranquillité...
Dire Non élégamment passe par deux sigles : OSBD ou DESC. Deux méthodes de communication assertive, non violente, pour poser un Non en se respectant et en respectant l'autre. Il s'agit de faire passer le message de votre refus avec calme et en employant des phrases courtes. L'idéal est de le faire en quatre phrases. Une par lettre...
* « O » pour « Observer » factuellement, sans évaluer, la situation. Il s'agit de décrire les faits uniquement. Pour reprendre l'exemple de la sortie proposée, la 1ère phrase pourrait être : « Une sortie est organisée au cinéma ce soir ».
* Le « S » fait référence au « Sentiment que vous ressentez. Il s'agit ici de dire son sentiment en faisant usage du « je ». Dans l'exemple, en une phrase, cela pourrait donner : « Je me sens fatigué(e) ».
* Le « B » fait écho quant à lui à votre « Besoin ». Il faut exprimer votre besoin sans parler d?action. Ici par exemple : « J'ai besoin de repos ».
* Et le « D » fait écho à « Demander » sans exiger. Il est question de faire une demande concrète, réalisable, ouverte à l'échange : « Je souhaiterais que nous reportions la sortie à demain si vous êtes d'accord... ».
Les quatre phrases mises bout-à-bout donnent donc : « Une sortie est organisée au cinéma ce soir. Je me sens fatigué(e). J'ai besoin de repos. Je souhaiterais que nous reportions la sortie à demain si vous êtes d'accord... » C'est une élégante manière de poser un refus, de dire Non.
La méthode DESC part des mêmes principes : Décrire (D) la situation objectivement, exprimer ses Émotions (E) en employant le « Je » ou le « me » (et pas le « tu » ou le « vous » qui pourraient passer pour accusateurs), proposer une Solution (S) constructive pour vous et pour l'autre, expliquer les Conséquences (C) positives pour vous et pour l'autre.
Vous affirmez... « Émotions et corps sont intimement liés »... Comment repérer ses émotions qui peuvent nous conduire au succès...Il y a six émotions primaires universelles : la peur, la colère, la tristesse, le dégoût, la surprise, la joie... Chacune correspond à un besoin et a un impact sur le corps. La peur paralyse et donne besoin d'être sécurisé. La colère crée des tensions. La colère exige d'obtenir réparation face à une situation qui paraît injuste. La tristesse fait que l'on a besoin de se replier, le corps lui-même d'ailleurs a tendance alors à se voûter, les yeux fixent le sol car on ne voit pas d'horizon positif. Le dégoût donne envie de s'éloigner, il peut créer des nausées, voire couper totalement l'appétit. La surprise fait hausser naturellement les sourcils pour augmenter le champ visuel et capter un maximum d'informations avant de réagir. La joie est la seule émotion que le cerveau tente de reproduire en permanence. La joie est un puissant moteur, elle donne envie de partager, et c'est elle qui mène au succès. Seulement, il n'est pas toujours facile d'être heureux. Une chance : le bonheur se crée, se façonne en trouvant des sources de satisfaction et de gratitude au quotidien. On peut en 21 jours changer. J'ai tendance à pousser pour ma part à 28 jours, histoire d'ancrer réellement et profondément le changement.
On peut recréer de nouveaux circuits neuronaux. Si tous les jours pendant 28 jours, vous trouvez dix raisons d'être heureux(se) et reconnaissant(e) quant à votre vie, vous serez mû(e) par une énergie positive, serez plus léger(e) et prendrez le chemin du succès en étant accompli(e). Ces raisons d'être reconnaissant(e) peuvent paraître anodines, mais elles sont pourtant réelles et justifiées. Je peux être reconnaissant(e) de voir, de respirer, de manger, de marcher, d'avoir des vêtements, d'avoir un vélo, d'avoir une voiture, d'avoir un toit, qu'il pleuve, que le soleil brille, que les oiseaux chantent, d'avoir un téléphone, un ordinateur... Cela peut paraître un peu bateau ou enfantin, mais trouver 280 sources de satisfaction (donc de raisons d'être heureux) en 28 jours, à raison de 10 affirmations par jour, dix affirmations qui devront réellement vous faire ressentir de la joie pour chacune d'entre elles, n'est pas si évident que ça. On s'est déconnecté progressivement de l'émerveillement si caractéristique de notre enfance.
Et parfois, des événements viennent nous rappeler que ce que l'on possède est merveilleux. Il suffit d'être malade pour prendre conscience que la santé est une chance, une source de bonheur à ne pas négliger. Il suffit que la voiture ne démarre plus ou que le métro soit en panne, pour que l'on prenne conscience que l'on a de la chance de pouvoir habituellement bénéficier de ces moyens de transport... La joie s'entretient au quotidien par de petites sources de satisfaction. Répétées, ces satisfactions conduisent au sentiment de bonheur. Et le bonheur est synonyme de succès. Si on vous demande de regarder en arrière et d'observer votre vie, vous aurez l'impression d'avoir réussi votre existence si cette dernière est ponctuée essentiellement de moments de bonheur. Si on vous demande de tourner votre regard vers le futur et d'imaginer votre vie comme une vie de succès, vous lierez automatiquement le succès à de la joie, et pas à de la peur, du dégoût, de la tristesse ou de la colère... Vous pourriez éventuellement être agréablement surpris par ce que vous pourriez être amené(e) à vivre, mais toujours avec en filigrane la joie comme fil conducteur.
Faire de votre vie un film à succès
La Méthode C.A.M.E.R.A. en 50 actions
Aurélie Claisse
Editions Gereso
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Aurélie est comédienne, formée au Conservatoire National de Région d'Art Dramatique de Lille. Après le théâtre, elle travaille pour la télévision. Et pour accompagner les personnes souhaitant vivre le succès, elle développe des outils et techniques de confiance en soi, de gestion de stress. Ses techniques de savoir-faire, de savoir-être et de faire-savoir ont également intéressé le milieu médical.
Elle contribue à la certification de coachs professionnels consultants, supervise des coachs en activité et dirige des travaux de mémoires de certification RNCP1/Master2 au sein de l'université Linkup coaching.